Revue d'art depuis 2006

  • Les engagements photographiques internationaux des Rencontres d’Arles 2024

    Les engagements photographiques internationaux des Rencontres d’Arles 2024

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    par

    Christian Gattinoni

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    Étant retenu l’an dernier par mon exposition « Photo-ChorĂ©graphies » Ă  OrlĂ©ans, je retrouve les Rencontres pour constater une ouverture Ă  l’ensemble des pratiques photographiques historiques et contemporaines, abordant dans des esthĂ©tiques fortes divers champs des activitĂ©s humaines, les engagements idĂ©ologiques post-documentaires, les expĂ©rimentations plastiques et leurs avatars plus rĂ©cents dont une Intelligence Artificielle maitrisĂ©e. Cette programmation


  • Les vanitĂ©s prĂȘtes Ă  porter de TĂ©tĂ© de Alencar

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    par

    Christian Gattinoni

    dans

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    Quelle est donc cette cosmĂ©tique des corps qui se joue dans la petite scĂšne de la cabine d’essayage ? L’étroitesse de l’espace confinĂ© en fait le confessionnal autiste des formes du fĂ©minin confrontĂ© aux canons de la mode. Une jeune artiste brĂ©silienne s’y confronte.Si seul un intime peut y trouver un permis de sĂ©jour temporaire les


  • Quand les pratiques se succĂšdent Ă  l’avant scĂšne, une autre forme de modernisme

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    par

    Christian Gattinoni

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    Si la pĂ©riode des avant-garde, des Ă©coles se succĂ©dant est bien finie, au XXI° siĂšcle la scĂšne artistique est cependant marquĂ©e par des alternances de pĂ©riodes successives plus ou moins longue avec le retour en vedette de pratiques artistiques diffĂ©rentes. Il est vrai comme le faisaient remarquer nos collĂšgues de Paricules que l’art français est


  • Celine Condorelli, Support Structures,

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    par

    Gaetane Lamarche-Vadel

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    Support Structures est un livre de 435 pages, que l’auteur, Celine Condorelli, prĂ©sente comme la derniĂšre phase d’une recherche formelle et conceptuelle sur la question du support, en tant que structure d’ordre architectural mais aussi social, culturel. L’ouvrage se veut Ă©galement ĂȘtre le support d’expression d’une rĂ©flexion collective engagĂ©e sur le support et une incitation


  • Neven Allanic : retour en enfance

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    par

    Camille Paulhan

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    NichĂ©e tout en haut d’un trĂšs beau domaine dĂ©partemental, entourĂ©e de pins maritimes et cernĂ©e par la mer et les rochers, la galerie du Dourven prĂ©sente actuellement une exposition ambitieuse d’un jeune artiste, Neven Allanic. Le centre d’art, bien que relativement isolĂ© au cƓur des CĂŽtes d’Armor, prĂ©sente depuis prĂšs de vingt ans des expositions


  • La gĂ©opoĂ©sie des « Chutes » numĂ©riques de Christian Corre

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    par

    Christian Gattinoni

    dans

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    Du temps des avant-gardes actives dĂšs la fin des annĂ©es 60 , des artistes performers proches du land art avaient fait de la marche un protocole leur permettant d’aborder le monde avec des machines de vision, photo ou vidĂ©o.Une prochaine exposition des Rencontres d’Arles organisĂ©e par Laetitia Talbot dans la galerie de l’Ecole Nationale SupĂ©rieure


  • BoĂźtes de contemplation Ă  la Galerie Sit Down, position debout obligatoire !

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    par

    no author

    dans

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    ƒuvre croisĂ©e du dessinateur Christian Roux et du designer Thomas Lemut, dix boĂźtes de contemplation vont nous permettre de nous confronter Ă  un double mystĂšre. Le premier est celui du bloc d’acier brossĂ© accrochĂ© au mur, qui, lĂ©gĂšrement ouvert sur les cĂŽtĂ©s de trois branchies, offre sur sa partie frontale une Ă©troite ouverture. Le second


  • Ulice Deborne rĂ©active sa petite fabrique de patrons Ă  la galerie

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    par

    no author

    dans

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    Dans le sous sol, main d’Ɠuvre discrĂšte pour ne pas dire secrĂšte s’active une couturiĂšre. Mais elle ne coud pas des vĂȘtements, elle fabrique des patrons Ă  la demande ! Retournement du processus de crĂ©ation, ce travail qui consiste Ă  faire coudre en papier transparent la forme d’un vĂȘtement est en fait un rĂ©el processus de


  • Jardin FantĂŽme

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    par

    Mathilde Roman

    dans

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    La galerie de la Marine Ă  Nice est actuellement transformĂ©e en un « Jardin fantĂŽme », promettant par ce titre une installation immersive digne d’un parc d’attraction, prolongeant l’atmosphĂšre festivaliĂšre du mois de fĂ©vrier.DĂšs l’entrĂ©e, on plonge dans une ambiance nocturne oĂč se dĂ©tachent quelques tableaux sur les murs, un amas de terre au sol, une projection


  • Danse,photographie, l’impossible image

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    par

    Christian Gattinoni

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    Si les Ă©crits thĂ©oriques spĂ©cifiques sur la danse, aprĂšs ceux sur la photographie, se sont multipliĂ©s depuis trois dĂ©cennies, aucune Ă©tude ne s’employait Ă  Ă©tablir les liens des deux en tant que disciplines co-dĂ©pendantes. Michelle Debat docteur en esthĂ©tique s’y attache avec une rigueur critique qu’elle avait Ă  ce jour dĂ©veloppĂ© dans le champ de


  • NĂ©o-graphie, Territoires de l’image

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    par

    Daphne Le Sergent

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    A la citĂ© des arts, l’exposition « NĂ©o-graphie » prĂ©sente les travaux d’artistes d’origine corĂ©enne et travaillant en Europe, rĂ©unis par la commissaire d’exposition SouHyeun Kim autour de la question du territoire et de l’identitĂ©.Territoires : les paysages photographiques blancs de Mi-Hyun Kim oĂč le relief se confond avec le ciel sous la brume des massifs du Huang


  • Les hiĂ©rarchies sensibles de Michel Houssin

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    par

    Christian Gattinoni

    dans

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    Un projet artistique peut se dĂ©finir grĂące Ă  sa capacitĂ© Ă  rĂ©pondre par des solutions techniques aux urgences des choix tant esthĂ©tiques qu’éthiques de l’artiste. Alin Avila en fait la dĂ©monstration en publiant la monographie de Michel Houssin abondamment illustrĂ©e et scandĂ©e par la sĂ©rialisation de ces choix dĂ©veloppĂ©e dans son journal.Son titre « Dessiner le


  • On Forme : pour une Ă©cologie des espaces de survie

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    par

    Christian Gattinoni

    dans

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    Le premier catalogue monographique du jeune artiste stĂ©phanois Jean-Baptiste Sauvage vient d’ĂȘtre publiĂ© par le Centre d’art Nei Licht de Dudelange et les Ă©ditions Jean-Pierre Huguet suite Ă  la rĂ©sidence d’artiste et Ă  l’exposition qui s’en est suivie Ă  la fin de l’annĂ©e derniĂšre. Contrairement Ă  ce que le titre « On Forme » pourrait laisser croire


  • Claire Morgan Les bascules de l’organique

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    par

    Christian Gattinoni

    dans

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    La pratique d’installation de Claire Morgan est minutieuse, rĂ©pĂ©titive dans ses gestes jusqu’à la maniaquerie rĂ©partissant insectes et graines en suspension. Ses Ɠuvres graphiques disent le beau comme la rencontre sur une table de dissection protĂ©gĂ©e d’une feuille de dessin d’un petit animal Ă  fourrure, de ses prĂ©dateurs et des dĂ©chets sociĂ©taux.Elle impose les deux


  • Quand l’autoportrait n’est plus « prĂ©sumĂ© innocent »

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    par

    Christian Gattinoni

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    En nos pĂ©riodes de confusions idĂ©ologiques maximales comment faire entendre Ă  des Ă©tudiants en art travaillant aujourd’hui leurs responsabilitĂ©s d’artistes et de citoyens. On les avait amenĂ©s en tant qu’enseignants ,critiques ou simples personnes morales Ă  signer cette pĂ©tition contre l’inique procĂšs faiut Ă  Marie-Laure Bernadac, StĂ©phanie Tremblay et Mr. Cousseau pour de prĂ©tendues Ɠuvres pĂ©dophiles


  • Identifications

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    par

    no author

    dans

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    Les oeuvres de Salvatore Puglia se dĂ©ploient Ă  partir du vaste domaine de la mĂ©moire. Les photographies qu’il prend et les oeuvres qu’il prĂ©sente Ă  partir d’images d’archives ayant servi Ă  identifier des individus, ne ressemblent en rien aux photographies que l’on s’attendrait Ă  trouver chez un photographe enregistrant le passĂ©. Car son vĂ©ritable sujet


  • SIDA, Portraits de combattants

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    par

    Christian Gattinoni

    dans

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    Pour les 25ans de l’Association AIDES Barbara Pellerin rĂ©alise un livre photographique trĂšs dynamique, composĂ© de portraits intimistes, de figures en action et de paysages urbains lieux des actions de diffusion des initiatives militantes.Barbara Pellerin s’était fait connaĂźtre en 2007 par son premier ouvrage sur la derniĂšre usine de filature en France, « Barentin » en Normandie


  • « Boarding House » de Roger Ballen, une subjectivitĂ© documentaire revendiquĂ©e

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    par

    Yannick Vigouroux

    dans

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    RĂ©vĂ©lation des Rencontres photographiques d’Arles de l’étĂ© 1995, l’oeuvre photographique de Roger Ballen, consacrĂ©e aux petites communautĂ©s blanches de l’Afrique du Sud, fut popularisĂ©e dĂšs 1997 en France par la publication d’un Photo Poche SociĂ©tĂ© (intitulĂ© Cette Afrique lĂ ). Ces images dressaient un constat implacable de la sociĂ©tĂ© de l’Apartheid, Ă  l’opposĂ© de la vision


  • Boltanski AprĂšs

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    par

    Camille Paulhan

    dans

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    En marge de la Monumenta au Grand Palais, Christian Boltanski a rĂ©alisĂ© une installation au Mac/Val, dont le titre nous signifie qu’elle se passe dĂ©libĂ©rĂ©ment AprĂšs la premiĂšre. LĂ  oĂč la terrifiante installation du Grand Palais met en scĂšne une main de Dieu qui saisit au hasard, en une version moderne de la danse macabre


  • Voyages, regards de photographes japonais sur le monde

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    par

    Xavier Martel

    dans

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    Les Japonais, on le sait maintenant, sont de grands voyageurs, et au-delĂ  du stĂ©rĂ©otype nĂ© dans les annĂ©es 1960 du touriste rivĂ© derriĂšre son appareil, ils sont probablement les vrais explorateur de notre contemporanĂ©itĂ© Du 14 octobre 2009 au 23 janvier 2010 s’est tenue l’exposition « Voyages, regards de photographes japonais sur le monde » Ă  la


  • ClĂ©a Coudsi et Eric Herbin, Tribologie

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    par

    Camille Paulhan

    dans

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    Pour leur premiĂšre exposition personnelle Ă  la galerie Schirman & de BeaucĂ©, les deux jeunes artistes ClĂ©a Coudsi et Eric Herbin prĂ©sentent un ensemble de trois installations (dont deux que les plus chanceux ont eu l’occasion de voir l’an dernier dans le trĂšs beau centre d’art Lab-Labanque de BĂ©thune).Au rez-de-chaussĂ©e de la galerie se confrontent


  • Nouit de Thomas Clerc

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    par

    Mathilde Roman

    dans

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    Le Frac Aquitaine et les Ă©ditions Mix lancent avec « Nouit » de Thomas Clerc le dĂ©but d’une collection oĂč un Ă©crivain prend pour point de dĂ©part une oeuvre du Frac. Exercice aussi fascinant que pĂ©rilleux, puisqu’il s’agit de se laisser absorber par une oeuvre sans s’y retrouver enfermĂ©.Thomas Clerc a choisi une image de Jeff Wall,


  • « Personnes » de Christian Boltanski au Grand Palais

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    par

    Pascale Lismonde

    dans

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    « Monumenta 2010 », pour cette troisiĂšme Ă©dition, n’a jamais si bien portĂ© son nom. Sous l’immense nef du Grand Palais, Christian Boltanski a crĂ©Ă© une installation gigantesque, appelĂ©e « Personnes ».La surprise provoquĂ©e par le choc visuel de la dĂ©couverte est amplifiĂ©e par de puissantes rĂ©sonances sourdes mĂ©talliques, omni-prĂ©sentes. Aussi par le froid ambiant, rĂ©solument voulu par l’auteur.


  • Soulèvements, JJ Lebel, derniers jours à la Maison Rouge…

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    par

    Odile Dorkel

    dans

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    Une fois passé sous le plafond de marteaux en fer ou en bois, de sacs de femmes qui pendent, c’est une voix qui envahit l’espace sonore, une voix qui déclame, qui éructe et qui accompagnera tout au long de la déambulation dans ce chaos organisé. Cette voix, qui est celle d’Antonin Artaud, donne le ton,


  • La rhĂ©torique de l’image chez Andres Lejona

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    par

    Paul di Felice

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    Dire d’un photographe que l’objectif de sa camĂ©ra est la prolongation de son Ɠil ou qu’il vit sa vie Ă  travers le viseur de sa camĂ©ra relĂšve des lieux communs qui disent moins sur son engagement crĂ©atif que sur les frontiĂšres qui sĂ©parent la vie et l’Ɠuvre. Autodidacte, AndrĂ©s Lejona ne choisit pas seulement la


  • l’univers Ă©purĂ© d’Isabelle Marmann

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    par

    Paul di Felice

    dans

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    Cela ressemble Ă  une gageure de proposer l’ex kiosque Ă  journaux, que l’Aica Luxembourg occupe comme lieu d’exposition temporaire depuis 2005, Ă  l’artiste luxembourgeoise Isabelle Marmann. Son travail, tout en filigrane, qui demande recueillement et qui incite Ă  la mĂ©ditation, est exactement Ă  l’opposĂ© de ce que le kiosque, du moins dans sa premiĂšre fonction,


  • David Mesguich ou le voyage de la « sĂ©paration » des territoires

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    par

    Florence Valerie Alonzo

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    Ce jeune dessinateur nĂ© Ă  Villeurbanne qui vit et travaille Ă  Paris, expose Ă  La Maison des Arts de Malakoff et prĂ©sente sa derniĂšre sĂ©rie de grandes aquarelles et des dessins au feutre rĂ©alisĂ©s Ă  son retour d’IsraĂ«l. « Le travail que je mets en avant dans cette exposition est le rĂ©sultat d’un parcours qui a


  • « Rayures et losanges photographiques : les derniĂšres publications Bernard Plossu »

    —

    par

    Yannick Vigouroux

    dans

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    L’inventivitĂ© d’un auteur prolifique associĂ©e Ă  celle d’une maison d’édition rĂ©serve souvent de belles surprises… LĂ  oĂč d’autres photographes se seraient contentĂ©s d’un simple exercice formel gratuit, Bernard Plossu dĂ©veloppe au contraire une recherche formelle quasi mĂ©lodique qui fait toujours fiction…Bernard Plossu est un photographe prolifique : auteur d’un trĂšs grand nombre de photographies, il ne


  • Hosoe Eikoh : Kamaitachi.

    —

    par

    Xavier Martel

    dans

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    Aperture vient juste de rĂ©Ă©diter le joyau de Hosoe Eikoh : Kamaitachi. « RĂ©Ă©dité » n’est d’ailleurs pas le terme exact, car il s’agit d’une adaptation du livre original, dĂ©jĂ  rĂ©Ă©dition en 2005
Il s’agit ici d’une belle Ă©dition accessible, rendant honneur, pour les quarantr ans de la premiĂšre publication, Ă  ce qui est probablement la plus belle Ɠuvre


  • Une exposition chorĂ©graphiĂ©e

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    par

    Christian Gattinoni

    dans

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    Si la scĂ©nographie des expositions d’art contemporain est de plus en plus une prĂ©occupation de commissaires dĂ©sireux de faire Ɠuvre il est rare qu’une exposition soit totalement chorĂ©graphiĂ©e. Dans le cadre du nouveau Festival du Centre Georges Pompidou Christian Rizzo, avec la complicitĂ© de Bernard BlistĂšne et Jean-Marie Gallais, nous fait la preuve magistrale de


  • Garouste , peintre osirien de l’intranquillitĂ©

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    par

    Odile Dorkel

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    Que faire aprĂšs Picasso, aprĂšs Duchamp ? Garouste, qui s’est obstinĂ©, nous explique-t-il dans son livre « l’intranquille » Ă  demeurer peintre dans un monde oĂč la rĂ©volution de l’art Ă©tait terminĂ©e, prĂ©sente Ă  la Villa MĂ©dicis Ă  Rome un parcours qui lui est propre, Ă  savoir ses dĂ©mĂȘlĂ©s Ă  la fois avec son histoire personnelle et celle


  • Lucia Rossi, « le paradis retrouvé » ou la femme paysage

    —

    par

    Florence Valerie Alonzo

    dans

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    La galerie ma collection dirigĂ©e par Jeanne Truong expose jusqu’au 24 dĂ©cembre 2009 les photographies de Lucia Rossi, une jeune femme d’origine italienne de Tasmanie. Nue dans les paysages, cette femme-mer, cette femme-vague, cette femme-vent, cette femme-roche, cette femme-arbre explore la quĂȘte d’une harmonie avec la mythologie, la nature et la spiritualitĂ©. « Le paradis est


  • Heribert M. Staub Figurer

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    par

    no author

    dans

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    Les Ɠuvres qu’Heribert M. Staub prĂ©sente Ă  la Galerie les Singuliers sont le fruit d’une expĂ©rience et d’une obstination rares. Sculpteur comme on ne s’autorise plus guĂšre Ă  l’ĂȘtre, il travaille la matiĂšre, la terre comme s’il Ă©tait une sorte de dĂ©miurge tardif qui voudrait repeupler la terre Ă  partir d’archives aussi essentielles que rares, des


  • Alain Kirili, Ron Gorchov, l’éveil des sens.

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    par

    Jean Claude Le Gouic

    dans

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    La « CĂ©lĂ©bration de la Main » voilĂ  ce que proposent deux artistes Ă  la galerie Jean-Luc et Takako Richard jusqu’au 30 DĂ©cembre 2009. Si Alain Kirili et Ron Gorchov font tous deux l’éloge la main, et il le font chacun Ă  leur maniĂšre, l’un en sculpteur et l’autre en peintre.L’artiste français, qui vit et travaille à


  • Le fils indigne de Martin Parr et Hilla Becher

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    par

    Nicolas Giraud

    dans

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    Olivier Cablat expose Ă  la galerie Incognito le rĂ©sultat de sa pratique d’une archĂ©ologie contemporaine. Il s’agit d’un groupe de planches, reproductions sur fond blanc d’objets quotidiens collectĂ©s en Egypte. Chaque planche porte une lĂ©gende qui renvoie Ă  la terminologie du classement dans les sciences humaines. S’y croisent pĂȘle-mĂȘle archĂ©ologie, ethnographie, sociologie, musĂ©ographie, non par


  • Sec au toucher !

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    par

    no author

    dans

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    Alors que la huitiĂšme Ă©dition d’ Artistbook International – le salon europĂ©en des Ă©ditions d’artistes : multiples, ephemera, vidĂ©os, livres d’artistes – vient d’ĂȘtre annulĂ©e au Centre Pompidou, Ă  Paris, pour cause d’une grĂšve motivĂ©e du personnel, une trentaine d’institutions culturelles partenaires, publiques et privĂ©es, en Île-de-France et en rĂ©gions cĂ©lĂšbrent en ce week end du


  • REALITE ABSTRAITE*

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    par

    Florence Valerie Alonzo

    dans

    [Le titre de l’exposition] provient d’un disque du trĂšs bon groupe mĂ©tal « Nasty Savage (Sale sauvage), qui porte aussi un excellent nom. Je ne l’ai pas trouvĂ© sĂ©rieux. Peut-ĂȘtre voulaient-ils qu’il le soit, mais je pense que ce titre est un peu dingue (
) J’aime ça quand on le comprend comme un juron, comme une