Voir aussi …
-
La ville d’Orléans organise depuis le début avril et jusqu‘à l‘été 2025 une exposition de Johan (...)
-
Sébastien Pons, l’un des directeurs artistiques de la galerie d’Orléans Le Pays où le ciel est (...)
-
Notre rencontre avec Lucie Monty-Brunel, s’est développée progressivement à une série d’échanges (...)
-
Emilia Genuardi qui s‘est fait connaitre par la mise en oeuvre en 2017 du salon a ppr oc he (...)
-
Marie Rauzy, née en 1961, diplômée de l Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris, est (...)
-
Après la sortie de son livre Rue Haxo (ed. de l’Espace d’en bas) en février 2023, le Prix Sade du (...)
-
Les dessins, sculptures et installations de Pierre Fauret sont hantés de figures animales (...)
-
Les paysages tissés de Caroline Karenine nous plongent dans une cartographie morcelée des lieux (...)
-
Si la programmation du Pays où le ciel est toujours bleu à Orléans est centrée sur les pratiques (...)
-
Une rue parisienne dans le 11e arrondissement, Godefroy Cavaignac, le journaliste républicain, (...)
Poster un message
En réponse à :
-
5 avril 2006, par Mathilde ROMAN
L’univers de Mihai Grecu est sombre, gris et angoissant. Dès le générique, dès les premières ambiances sonores, Mihai Grecu nous entraîne dans des compositions poétiques qui prennent pied dans le réel tout en s’en échappant sans cesse, pour ne jamais véritablement s’en éloigner. Ses regards se posent sur le monde qui l’entoure. Il prend ainsi la place de l’homme de fer, au nom si suggestif, comme terreau d’une de ses rêveries, Ironman Platz (une bande annonce de jeu vidéo). La place où il a son (...)