Voir aussi …
-
Sébastien Pons, l’un des directeurs artistiques de la galerie d’Orléans Le Pays où le ciel est (...)
-
Notre rencontre avec Lucie Monty-Brunel, s’est développée progressivement à une série d’échanges (...)
-
Emilia Genuardi qui s‘est fait connaitre par la mise en oeuvre en 2017 du salon a ppr oc he (...)
-
Marie Rauzy, née en 1961, diplômée de l Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris, est (...)
-
Après la sortie de son livre Rue Haxo (ed. de l’Espace d’en bas) en février 2023, le Prix Sade du (...)
-
Les dessins, sculptures et installations de Pierre Fauret sont hantés de figures animales (...)
-
Les paysages tissés de Caroline Karenine nous plongent dans une cartographie morcelée des lieux (...)
-
Si la programmation du Pays où le ciel est toujours bleu à Orléans est centrée sur les pratiques (...)
-
Une rue parisienne dans le 11e arrondissement, Godefroy Cavaignac, le journaliste républicain, (...)
-
"L’instant d’un espace, tout n’est plus entièrement terrestre et pas encore complètement marin. Là (...)
Poster un message
En réponse à :
-
29 juin 2006, par Marie PICARD
Regard sur l’identité ou l’ultime enjeu de déconstruction des genres entre mascarade, jeu théâtral et hybridation
Le « jeu » de la séduction, de la souffrance, du burlesque, de l’androgyne, de la monstruosité, ou autant de mascarades dont a usé Cindy Sherman à travers ses photographies, depuis plus de trente ans, afin d’explorer les stéréotypes sociaux, et en particulier l’identité individuelle féminine et les fantasmes qui en découlent. La rétrospective qui a été consacrée à son oeuvre au musée du (...)