Dans le titre du livre de Reiner Riedler à paraître et de l’exposition du Mois Européen de la Photographie à Paris, à la Heart Galerie, « Fake holydays », l’adjectif factice est plus essentiel que la question de la vacance. Si tout fonctionne dans cet univers sous le signe du trop, le grand manque reste celui de l’authentique. En cela cette série constitue un aboutissement de toute la démarche de cet auteur autrichien âgé de quarante ans.
Il n’est pas si fréquent que les photographes qui ne se consacrent (...)