L’art vidéo suppose toujours une grande disponibilité de la part du spectateur et il nécessite une réelle curiosité pour voir les œuvres en dehors des festivals et de structures permanentes comme la section audiovisuelle du Centre Georges Pompidou. Si les figures majeures internationales sont bien repérées les jeunes créateurs manquent d’une visibilité critique. Là se trouve tout l’intérêt du livre de Mathilde Roman « Art vidéo et mise en scène de soi » qui fait le lien entre les figures tutélaires et (...)