L’exercice auquel je me livre est difficile. Je connais à peine Zhang Wei rencontré un soir dans l’ancienne résidence du Dalaï Lama à Pékin. Il m’a communiqué des documents sur son art et une biographie. Je suis à présent à des milliers de kilomètres de distance et je m’apprête à écrire un texte sur son œuvre. Feuilletant les quelques photographies dont je dispose, je constate deux choses. Des souches d’arbres d’une part, travaillées et destinées, parfois, à leur exposition dans un environnement (...)